Depuis de nombreuses générations ils [les humains] savaient que, pour créer de la richesse, il faut des idées, du travail et des outils ; des paraphes sur des documents imprimés peuvent tout au plus déplacer les richesses, non les créer. Les clients des banques ont été semblables aux publics naïfs qui, dans les foires, sont séduits par les promesses des bonimenteurs. Ils ont confié leur fortune à des financiers, ceux-ci l'ont convertie en prêts qui ne seront jamais remboursés.