En un temps où ni pénicilline ni sulfamides n’étaient encore découverts, le péril vénérien n’était pas une amusette. La race gauloise, déjà rudement saignée par la riflette, se trouvait en danger d’être décimée par la chtouille, anéantie par le nazebroque, d’où vive parade officielle et création d’instituts prophylactiques.