On m'a chargé de veiller sur la fillette. Nous avons vécu près de deux ans dans les environs de Szolnok,en Hongrie, où se trouvait le noyau du parti. Mais les gens de Charles-Louis cherchaient notre retraite. Il importait de faire perdre notre trace à tout le monde, même à nos amis. Au mois de novembre 1890, l'archiduc Jean nous embarqua sur son yacht, et cinq mois après nous déposait dans l'île d'Eïao.