En comparant la flore et la faune découverte sur les pages de l'Encyclopédie Larousse avec leurs équivalents dans la vie réelle, il constatait: "au Jardin d'acclimatation, les singes étaient moins singes, au jardin du Luxembourg les hommes étaient moins hommes. Platonicien par état, j'allais du savoir à son objet. Je trouvais à l'idée plus de réalité qu'à la chose. C'est dans les livres que j'ai rencontré l'univers : assimilé, classé, étiqueté, pensé, redoutable encore"