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Citation de aimeryjoessel


Si Perrone était dévoré par son amour-propre, Mostallino, pour ainsi dire n'en avait pas. Le premier butait constamment sur sa vie, comme un peigne trop serré qui ne rencontre que des épis, le second glissait dessus sans avoir de prise. Mostallino, par froideur, était incapable de rapports directs avec les personnes et avait besoin de la blouse de l'expérimentateur pour les toucher et les pénétrer ; Perrone, par orgueil, en venait à se trouver dans les mêmes conditions : tout sentiment lui semblait être un compromis, une humiliation, un échec.
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