Si je devais aujourd'hui parler de l'architecture, je dirais qu'elle procède plutôt du rite que d'un processus créatif ; car je connais parfaitement les amertumes et le confort du rite.
Le rite nous donne le confort de la continuité, de la répétition. Il nous contraint à des oublis détournés, car ne pouvant évoluer, toute mutation signifierait destruction.
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