Son histoire (Nanni) était captivante, mais elle avait le mérite de ne pas virer au fantastique et de revenir toujours dans les limites de l’inépuisable machine narrative qu’est le capitalisme du XXe siècle. Une de ces histoires capables de transformer un morveux mordu d’ordinateur en homme le plus riche de la planète, ou un jeune juif russe ayant fui le stalinisme en producteur de cinéma le plus important d’Hollywood. P 176