Nationalité : France
Né(e) à : Alger , le 17/03/1947
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Né(e) à : Alger , le 17/03/1947
Biographie :
Alexandre Arcady, né le 17 mars 1947 à Alger, est un réalisateur français. Né d'une mère juive d'Algérie et d'un père légionnaire d'origine hongroise, il s'exile avec sa famille en métropole en 1961. Alexandre s'essaye à la mise en scène de théâtre, réalise quelques courts métrages et enregistre en 1978 une représentation du Dom Juan de Molière.
En 1979, Le Coup de sirocco, son premier long métrage, est largement autobiographique. C'est aussi le premier qui s'adresse au public des Pieds-Noirs, jouant sur la chronique nostalgique de l'exil et le souvenir du « pays perdu ». Le film sera un succès inattendu et prometteur.
Suivront notamment "Le grand pardon", "Le grand carnaval" ou dernièrement "Ce que le jour doit à la nuit".
Alexandre Arcady fut également acteur en 1972 dans Avoir 20 ans dans les Aurès de René Vautier sous le nom Arcady.
+ Voir plusAlexandre Arcady, né le 17 mars 1947 à Alger, est un réalisateur français. Né d'une mère juive d'Algérie et d'un père légionnaire d'origine hongroise, il s'exile avec sa famille en métropole en 1961. Alexandre s'essaye à la mise en scène de théâtre, réalise quelques courts métrages et enregistre en 1978 une représentation du Dom Juan de Molière.
En 1979, Le Coup de sirocco, son premier long métrage, est largement autobiographique. C'est aussi le premier qui s'adresse au public des Pieds-Noirs, jouant sur la chronique nostalgique de l'exil et le souvenir du « pays perdu ». Le film sera un succès inattendu et prometteur.
Suivront notamment "Le grand pardon", "Le grand carnaval" ou dernièrement "Ce que le jour doit à la nuit".
Alexandre Arcady fut également acteur en 1972 dans Avoir 20 ans dans les Aurès de René Vautier sous le nom Arcady.
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Videos et interviews (1)
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Alexandre Arcady, sur son film, Ilan Halimi et le gang des barbares.
Citations et extraits (3)
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Alger, c'était la ville du cinéma. Sur l'ensemble du territoire algérien, on dénombrait alors près de cinq cents salles ! On disait qu'à Alger même on comptait autant de salles qu'à Paris. Exagération, certes, mais non sans fondement (...)
A cette époque, le cinéma représentait quelque chose de magique et de fabuleux. On s'y rendait le plus souvent le samedi soir en famille, ou le dimanche après-midi, dans ce cas uniquement l'hiver car la concurrence des plages était trop forte.
A cette époque, le cinéma représentait quelque chose de magique et de fabuleux. On s'y rendait le plus souvent le samedi soir en famille, ou le dimanche après-midi, dans ce cas uniquement l'hiver car la concurrence des plages était trop forte.
Dans la Bible , il est dit qu'Israël , c'est le pays où coulent le lait et le miel et bien tu vois , l'Algérie , d'avant , c'était pareil , en mieux .
C'était bien , mon fils , mais je me demande vraiment comment on a fait pour vivre là-bas .
C'était bien , mon fils , mais je me demande vraiment comment on a fait pour vivre là-bas .
Quand on aime, il faut partir
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