Une force terrible l’attirait toujours plus près de la surface jaunie du verre trouble. Soudain, il frémit, se couvrit des pieds à la tête d’une sueur froide, et, comme dans la cave du canal Gracio, il vit devant lui deux yeux pleins de rage qui le fixaient, des yeux qui n’étaient pas les siens.
Au même instant, il ressentit un choc brutal. Son double du miroir l’avait pris par le bras droit et l’attirait de force à l’intérieur du miroir troublé par des tourbillons, comme du mercure.
LE MIROIR VÉNITIEN