Pendant longtemps la fessée et la flagellation furent considérées comme une médecine, un remède contre l'impuissance. Les libertins usent, s'amusent et abusent de tous les aphrodisiaques, dont bien sûr la flagellation. Leurs écrits, où l'érotisme sert de fil conducteur à un discours philosophique et politique, regorgent de scènes dans lesquelles - les ecclésiastiques et les dévots - apparaissent ridiculisés sous la caresse des verges.
(Extrait de l'introduction de Alexandre Dupouy)