Ces disputes arrivaient fréquemment dans la tanière de ces Mandrins modernes, mais également, l’alcool aidant, à la sortie des tripots où ils avaient leurs habitudes. L’un de ces tripots se situait rue de Rambuteau et était aussi le lieu de détente de Nicolas Arras, modeste garçon de lavoir qui passait ici une fois par semaine boire un verre avant de rentrer chez lui, rue de la Bûcherie.