Kazia était réfractaire à croire spontanément ce qu'on lui présentait comme une vérité définitive ; il avait toujours eu cette volonté de contradiction. D'ailleurs, il était né avec un pied bot comme pour contrevenir au désir de son père d'en faire un vigoureux soldat de l'armée rouge. Il trouvait étrange cette facilité des gens à s'abandonner au profit du « régime », à suivre le chemin tracé que ce dernier exigeait de son peuple.