Les indépendants. Ceux-là sont des anticorps dans notre société. Ils sont très peu nombreux. Mais ils sont dangereux, parce qu'ils sont maîtres d'eux-mêmes. Un seul de ces indépendants peut nous causer bien plus de tracas qu'un parti d'un million d'opposants. Personnellement, j'autoriserais bien les partis. De toute façon, chez nous, ils dégénéreraient forcément en une comédie d'avortons, et cela sans aucun emploi de la contrainte.