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Nationalité : France
Né(e) à : Paris , le 01/06/1822
Mort(e) à : Paris , le 02/03/1909
Biographie :

Alfred-Nicolas Normand est un architecte et photographe français.
En 1861, nommé Inspecteur général des édifices pénitentiaires, il construit la prison de Rennes entre 1867 et 1876. Il avait déjà réalisé un rapport et un atlas des prisons en France en 1854. La loi du 5 juin 1875 obligeant à un encellulement individuel, il rédige avec Joseph Auguste Émile Vaudremer un programme architectural pénitentiaire très détaillé ainsi que des Projets-spécimens pour servir à la construction des prisons départementales suivant le régime de l’emprisonnement individuel.
Il est élu à l'Académie des beaux-arts en 1890 au siège no 6 de la section architecture. Il est, par ailleurs, rédacteur en chef de la revue Le moniteur des architectes de 1866 à 1868, et président de la Société centrale des architectes entre 1898 et 1900. Il est enfin vice-président de la Société française de photographie.









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Source : wikipedia
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Citations et extraits (6) Ajouter une citation
Article premier. — L’École impériale des Beaux-Arts est à la fois un établissement dans lequel l’État donne, au moyen de ses ateliers et de cours spéciaux, l’enseignement de tout ce qui touche aux différentes branches des arts du dessin;
Et une institution où tous ceux qui se destinent à la carrière des arts peuvent être admis à concourir pour des encouragements et des récompenses. Cette section, pour la distinguer des ateliers, reçoit la désignation à' Ecole proprement dite.
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ÉCOLE IMPÉRIALE ET SPÉCIALE DES BEAUX-ARTS
NOUVEAU RÈGLEMENT DES ÉTUDES,
Les règlements de l’École Impériale des Beaux-Arts viennent de recevoir d’importantes modifications destinées à améliorer les études et adonner au litre d’élève de l'École une valeur sérieuse vivement réclamée depuis longtemps.
Nous croyons être agréables à nos lecteurs en les publiant ci-après tels qu'ils viennent de recevoir l’approbation de S. E. M. le Ministre de la Maison de l’Empereur et des Beaux-Arts.
Quelques dispositions nouvelles, provoquées par la sollicitude bien connue de M. Guillaume, le Directeur actuel de l’Ecole, pour tout ce qui se rattache à son amélioration, méritent une attention toute particulière par les conséquences heureuses qu’elles peuvent avoir pour l’avenir.
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Qu’est-ce qu’une ville sans édifices? Elle n’a point d’attraits pour quiconque aime le beau. Elle lui est indifférente, car l’homme qui aime le beau n’y voit que des constructions, des bâtisses matérielles et seulement utiles, mais sans aucune des qualités qui éveillent l’intérêt et le plaisir. Voyez les grandes et moyennes villes manufacturières: on les visite pour ses affaires, dans un intérêt personnel ou pour voir des machine et des métiers curieux. Dès l’instant que cet intérêt est contenté on les fuit et on les oublie.
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L’architecture, le premier des arts et le seul qui ne soit pas d’imitation, élève des monuments publics selon les règles du beau. Indépendamment de leur utilité intrinsèque, ces monuments charment la vue, contentent l’esprit, émeuvent et élèvent l’âme de ceux qui les contemplent; quand ils ont les conditions voulues, ils sont la gloire des villes et des peuples : quelquefois même ils sont leur seule et unique histoire.
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Conformément à la donation faite à l’Académie des Beaux-Arts par Mlle Esther Leclère, en mémoire de feu Achille Leclère, son frère, architecte, membre de l’Institut, l’Académie met chaque année en concours un sujet dont le prix, qui consiste en une médaille de la valeur de 1,000 fr., est décerné dans la séance publique annuelle de l’année suivante, à l’auteur du meilleur sujet.
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Une rue, une allée transversale, accessible aux voitures, suffisait, dira-t-on, pour assurer la communication désirée.
Pour assurer cette communication? Cette disposition existe au parc Monceaux, et personne n’ignore la gêne qui en résulte pour la circulation des piétons, l’agrément d’une promenade, et les dangers qu’y courent les promeneurs.
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