Rien ne reste de Molière. Aucune des maisons habitées par lui au cours de sa vie (…) ni l’hôtel particulier de la rue de Richelieu où il est mort (…) Aucun des théâtres où il a joué ne subsiste, ni les jeux de paumes (…)
Plus troublant encore. Il n’a laissé aucun manuscrit, aucune lettre, seulement quelques signatures au bas d’actes notariés. (…)
Rien ne reste de Molière que son œuvre. Rien de lui n’échappe au théâtre, mais il élargit le théâtre aux dimensions du monde.