… la forte tendance idéalisatrice de l'enfant occulte même les plus graves sévices. Il n'y a pas de tribunal, pas de procureur, pas de jugement, tout reste enfoui dans les ténèbres du passé, et quand les faits deviennent connus, ils sont baptisés « bienfaits ». S'il en est ainsi dans les cas les plus flagrants de sévices corporels, comment la torture psychique, de toute manière moins visible et restant beaucoup plus discutée, serait-elle mise au jour ?