Dans la vie, il y a des réveils plus difficiles que d’autres, et celui-ci était peut-être le pire que j’aie connu. Finis le Sancerre et la rigolade avec Nour bien à l’abri sur mon canapé, j’allais devoir retourner ce matin-là à l’hôtel pour affronter la réalité, constater l’étendue du désastre et, probablement, m’entendre signifier mon licenciement.