Alois Hotschnig

Les nouvelles de ce recueil sont très bien écrites,

Ce n'est donc pas pour une question d'écriture que j'en ai abandonné la lecture, mais pour le mal-être occasionné.

Dans la 1ère nouvelle, un homme, habitant au bord d'un lac, observe ses voisins, un couple qui passe ses journées sur les transats installés sur leur ponton. Cela devient obsessionnel, et ce récit créé une atmosphère étouffante, très angoissante.

Dans la 2e nouvelle (et dernière lu pour moi), un homme suit une femme dans la rue, puis pénètre dans son appartement après qu'elle en soit ressortit, et l'on comprend au fil de la lecture qu'il s'agit de son ex-compagnon.

Sans doute que mon mon état d'esprit actuel ne me permettait pas d'en "absorber" plus, l'ultrasensibilité est parfois un handicap...