Comme chaque fois que je pense à Riley, ma gorge se serre et les yeux me piquent. Je me demande si je m'habituerais jamais à son départ définitif. Je devrais pourtant avoir compris que lorsqu'on perd quelqu'un le sentiment de manque ne nous quitte jamais vraiment. Il faut apprendre à vivre avec le vie laissé par l'absent.