Néanmoins, pour survivre dans ce monde étranger, je dus apprendre que l'amour est un peu comme un tableau. Les vides entre nous deux étaient tout aussi importants que les pleins. L'espace entre nos corps allongés, les pauses dans nos conversations correspondaient aux parties encore vierges sur une toile, et le reste de notre relation - les rires et les souvenirs - correspondaient aux coups de pinceau appliqués avec le temps.