Je repensais à ce que j’avais éprouvé, quelques mois plus tôt, lorsque Harville m’avait annoncé ses noces prochaines. J’avais accueilli cette déclaration avec incrédulité, le jugeant idiot, car le monde était plein de jolies jeunes filles, et il était absurde de renoncer aux sourires de toutes ces demoiselles pour ne profiter que de ceux d’une seule.
Mais, debout à la croisée des chemins, je compris.
(Mardi 19 août - page 88)