Je monte les escaliers deux par deux pour rejoindre Arthur à l’étage. Il est installé sur le canapé gris à rayures blanches qui trône au milieu de mon minuscule salon et de mes derniers cartons. Ses yeux vagabondent un peu partout. Je l’observe silencieusement.
- Ta décoration est quelque peu austère, bafouille-t-il, une moue perplexe sur le visage. Je t’apporterai des affaires de chez moi, si tu veux.