Au fur et à mesure que je côtoie mes camarades démunis, j'arrive à me mettre en valeur, à oublier mes vêtements amples pour trouver mon identité de fille. Avec eux, j'ai pu découvrir que nombre de masques les plus beaux, les mieux décorés, cachent une âme brisée, figée et recollée. maladroitement, sans avoir pris le temps de panser la blessure.