Car le beau n'est rien d'autre
que le commencement du Terrible, quand c'est tout juste
si nous l'entendons encore,
et nous l'admirons parce qu'il dédaigne avec indifférence
de nous détruire¹.
1. Rainer Maria Rike, "Première élégie", in Élégie de Duino, op.. cit. p. 53.