Il y a un tel vacarme chez nous, ce ne sont plus que clameurs, incantations, amulettes, clairons, tambours et trompettes.
Ou au contraire, cinglants sarcasmes : tout le monde insulte tout le monde.
Personnellement, j'estime que la critique des affaires publiques doit comprendre, disons, vingt pour cent de persiflages et d'injures, vingt pour cent de souffrance et soixante pour cent de sérieux chirurgical. Sinon tout le monde se moque de tout le monde, on répand de faux bruits, et la malveillance règne partout.