Je t’ai quittée parce que j’avais besoin de chaleur, de rires, de partage. Tu es toujours dans la retenue, il n’y avait jamais de cris et si peu de joie. J’ai besoin de sentir la vie autour de moi. Avec mes médicaments, tout est devenu tellement gris, si terne. J’ai cru que ça venait de toi et j’ai fait la plus grosse bêtise de ma vie. En réalité, j’ai compris trop tard que tu mettais beaucoup d’énergie pour que mon cadre de vie soit calme, sans stress. J’ai été égoïste, parce que je trouvais injuste d’être malade. Une malade mentale en ménage avec une psy, un vrai cliché !