Et puis un jour, tu meurs. (...)
Nous, on est en cocon familial à la campagne. Ce que mes parents ont construit et qui ne te ressemble pas. Une famille qui se colle.
(...) Ma mère s'accroche aux murs. C'est Hiroshima dans son ventre.
Enfin débarrassée de ton absence.
Elle deviendra peut-être normale. Une femme, avec une mère enterrée. (p. 16)