Le fait qu’il ressente la chaleur, et elle non, suggéra à la jeune fille qu’il disposait d’un tempérament assez sanguin, ce qui lui plut beaucoup. Elle ne savait pas encore de quoi un amant était censé se montrer capable ; sa culture dans ce domaine était limitée à ce que son amie, aussi naïve qu’elle, mais ayant accès à des films bien plus érotiques, lui avait raconté. Mais elle sentait, instinctivement, qu’un homme capable de coups de sang était aussi capable d’autres efforts. Et cela la faisait délicieusement frissonner.