– Monsieur le préfet, rendez-nous nos bons religieux, faites rentrer les sœurs de charité dans les hôpitaux et Dieu dans l’école d’où vous l’avez chassé. Ne nous empêchez plus de faire de nos fils des chrétiens et… nous serons bien près de nous entendre.
– Bon sang ! madame, ne voyez-vous pas que les rues du chef-lieu sont noires de curés, et qu’il y a des moines derrière toutes les grilles ? Et quant à votre jeune Gustave, ce n’est fichtre pas moi qui l’empêche d’aller à la messe toute la journée au lieu de courir les filles !