Pas un jour, pas une heure où il est pas avec moi. Il est en moi comme le goût aigre de l’aloès dans ma bouche, dans chacune de mes respirations, que j’inspire ou que j’expire, à chaque pas, même quand je reste immobile debout ou quand je suis allongée. KleinFrans, KleinFrans, KleinFrans ; Qui est sorti de mon corps et que Frans voulait le noyer. Je l’ai étouffé dans mes bras pour lui épargner une vie d’esclavage.
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