La réitération peut être considérée comme la part agie d'un processus à l'oeuvre : la répétition. Nous sommes ainsi en présence d'un processus, la répétition, qui engendre des agirs réitérés violents sexuels dont une part, plus ou moins grande, restera non révélée et donc ne connaîtra aucun devenir "social", sauf à travers de la souffrance des victimes qui, le plus souvent, sert de premier signe à l'advenu à la socialisation de ces actes.