André Costa fréquenta la Sorbonne et l'Ecole des langues orientales avant d'entrer dans la carrière préfectorale où sa vocation littéraire se signala, de façon détournée et périssable, à travers les discours que sa fonction l'amena à prononcer.
Ami de Georges Bataille et de Patrick Waldbert, il n'acheva que un seul livre, "La fête foraine" (1977), où transparaît l'influence de Lewis Carrol qui fut, avec Stendhal, l'un de ses auteurs de prédilection.