Il y a de la profondeur cachée dans la montagne. Je parle ne sachant à l'avance ce qu'il sortira et les mots s'assemblent en oracle. Du moins on me le dit. Je bâtis un monde, où je me perds moi-même. Il me faut de patients amis pour me l'expliquer. C'est donc qu'entre ma parole et ce qui l'anime il y a quelque chose que j'ignore. Peut-être quelqu'un. Je ne crois pas porter de dieu.