Les tâches étaient dérisoires, et d’une facilité enfantine au regard des champs : sitôt la cloche, on se lavait soigneusement, on chassait l’odeur de négresse et puis l’on s’habillait de façon coquine, on aidait celles aux cheveux crépus à se faire une coiffure décente, on s’en allait à la cuisine déjeuner d’une mangue ou d’une crème au lait.