A sept heures, la porte du réfectoire s’ouvrait. Quelques minutes plus tard, le petit-déjeuner avalé, tout le monde était là, de nouveau, mais le charme des débuts de la matinée avait été rompu ou peut-être avait-il trop duré pour des cervelles versatiles ? La radio fonctionnait déjà, à plein régime. On eût alors annoncé l’extinction des eux que tous les gens du III seraient repartis se coucher avec conviction. Et pourtant la journée débutait à peine.