– Envoie-moi le dottor Augello, lança le commissaire en passant devant Catarella qui se trouvait dans le cagibi qui servait de loge de concierge et de standard.
– Il est ne se trouvant pas sur les lieux, dottori.
– Mais on l’a vu ce matin ?
– On l’a vu et on l’a dévu, dottori, un éclair foudroyant d’éclair, on aurait dit, du fait qu’à peine qu’il arriva, il s’en ren-alla. Il fut obligé.
– Dans quel sens ?
– Dans le sens qu’on téléphona ici au standard du commissariat de par le fait qu’on ademanda urgemment très vite une aide de par le fait qu’il y avait un viol de flamant.
– On a violé un flamant rose ?
– Ezatement, dottori.
Qu’est-ce que c’était que cette histoire ?
– Tu as l’enregistrement de l’appel ?
– Naturalistement, dottori.
– Fais-moi écouter ça.
Catarella tripota les touches et à un certain moment s’éleva la voix excitée d’une femme plus toute jeune qui tiléphonait passqu’elle était en train d’assister à un viol flagrant.
En un certain sens, et quoiqu’il ressente toujours la pulsion de tuer les violeurs quand ils étaient à sa portée, le commissaire se senti plus tranquille.
S’il s’était agi vraiment d’un flamant, ça voulait dire que l’humanité accélérait dangereusement le voyage, déjà depuis longtemps brillamment commencé, vers la plus absolue folie.