si les faits principaux, tels que la tentative d'impliquer le prince dans les visées expansionnistes de Mussolini, ses aventures amoureuses et le pied de nez final, relèvent de la pure invention, le climat général est authentique - une véritable stupidité collective à mi-chemin entre la farce et la tragédie qui, hélas, marqua toute une époque.