- (...) Qu'on y réfléchisse au gouvernement. Si, maintenant, on permet que les usines soient occupées, nous autres industriels, nous ne pourrons que tirer les conclusions qui s'imposent : le gouvernement n'est absolument pas en mesure de faire face à ce dramatique développement de la crise.
- Cela me paraît un peu fort, observe Guido.
- Crois-moi, c'est comme ça qu'on les mène, en maniant le bâton et les pots-de-vin.