Je culpabilise et je réalise combien de temps j’ai perdu à errer dans les rues de Paris, dans les boîtes de nuit ou dans les cafés. Je me revois alors cloîtré dans ma chambre à mater des séries, à dormir et à prendre la vie du côté qui me semblait le plus facile. De tous ces jours, il n’en reste rien à présent.