-Bientôt, il faudra songer à te marier, disait mon père.
Il s'en inquiétait bien plus que de mes études. Une fille,quel problème ! Encore heureux de n'en avoir qu'une seule ! Il était tranquille de me savoir ici où on m'inculquait des principes,et je serais plus facile à caser.Mais l'instruction ? Il estimait déjà que j'en savais trop.
"Tant que tu pourras rédiger une lettre à ton vieux père pour lui annoncer la naissance d'un garçon, cela suffira", disait-il. (Flammarion, 1976, p.50)