Je me souviens de cette époque où j’étais parvenu à la conclusion qu’il n’y avait que deux choses pour lesquelles cela valait la peine de vivre : la splendeur et la beauté de la nature, et la splendeur et la beauté de l’amour et de l’amitié. Aujourd’hui, je n’ai pas changé d’avis.
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