Un fourgon blindé passe le portail en vombrissant, quelqu'un crie, la barrière s'abaisse pour aussitôt remonter.
(...)L'univers de crime et des châtiments, refoulé par la musique le temps d'une soirée, la prend au dépourvu. Elle se détourne de la fenêtre comme pour revenir à l'endroit où, juste auparavant, elle était entourée de sons et emplie d'une quiétude à présent évanouie. (p. 188)