Je n’attends pas de la Nature
XXIII
extrait 2
Je songe, et je vois que ton être,
Que je n’entourais que d’amour,
Me touche bien quand le pénètre
Le subit éclat des beaux jours !
Sous cet azur tu ne ressembles
Plus à toi seul, mais à mes vœux,
À ce grand cœur aventureux,
Aux voyages qu’on fait ensemble,
Aux villes où l’on est soudain
Rapprochés par le romanesque,
Où la tristesse et l’ennui presque
Exaltent le suave instinct.
…