On obtenait ce qu’on voulait en échange d’une poignée de billets. Il n’y avait pas de honte à ça ; c’était l’avantage d’être indépendante financièrement, car, en cette seconde moitié du siècle, les femmes avaient les moyens de profiter d’un service auquel les hommes ne se privaient pas d’avoir recours depuis des millénaires. Mais la discrétion était de mise. Les préjugés étaient encore puissants.