Je faisais enfin bon ménage avec ce corps instable. Émerveillée par le pouvoir de ces mots, ma petite motte bavait comme un chien devant sa gamelle. Je venais de découvrir le conditionnement pavlovien et ma nature vorace. Quand mon corps et ma tête implosaient, un bien- être indicible et immédiat me laissait dans l’indolence, cet état si reposant.