Grand-père et Mita nous ont donné tout ce qu'ils possédaient si peu, qu'ils ont possédé trop tard pour l'offrir à leurs propres enfants et accessoirement, le droit de les tutoyer. Le "tu" est venu avec le confort et la certitude du lendemain comme une licence somptuaire accordée par ceux qui avaient surrmonté les affres de la précarité. (p.72)