C’est la peur. La peur qui s’est immiscée, sournoise et silencieuse, maligne et déterminée. Elle a pris son temps, le temps de nous observer et de nous comprendre. Puis elle s’est faufilée en bâtissant ses fondements profondément et tellement confortablement que ses piliers sont aujourd’hui bien plus solides que ceux qui soutiennent notre humanité.