Non, pas simple de dénicher ce livre au titre un tantinet pompeux, qui se morfondait sur une étagère ou y dormait du sommeil profond des ouvrages que personne, pendant des années, ne tire de leur retraite et qui ne tressaillent qu’en sentant sur eux la menace d’un exil nommé « réserve centrale », dernière demeure avant le grand oubli définitif.