Là, assise sur le parquet, même si sa mère ne pouvait pas lui prendre la main, ne pouvait pas offrir un rire dont elle avait le secret à son nouveau trésor, Bamba ressentait sa lumière. Ça l’éclairait de l’intérieur, bougie aux parfums d’enfance, et berçait celui ou celle qui naîtrait à son tour, qui se battrait pour vivre, qui aimerait la vie, qui la percuterait de son rire, comme l’avait fait sa grand-mère Alice avant lui. Héritage fabuleux d’une folie merveilleuse.