Le chinois se réfère moins à l'au-delà qu'à l'orchestration du monde. Lié à l'univers par les forces étranges et mystérieuses de la nature, il ne reconnaît pas de vérité absolue ou éternelle et parvient à l'harmonie en jonglant encore et toujours avec le yin et le yang et les souffles qui animent l'espace. Ces notions interfèrent dans toutes les sphères de la culture chinoise, qu'il s'agisse de cuisine, de médecine, de jade, de géomancie ou encore de jardin.